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28/09/2007

Paroles de militants

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Une militante modem / Un militant UMP / Un militant socialiste

09:40 Publié dans 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Politique, modem, bayou, ps, ump

26/09/2007

L'infanterie socialiste sort de sa réserve

A suivre sur le blog de Roger Vicot.

A noter que la déclaration de candidature de Roger Vicot est laconique: " Je pense pouvoir apporter quelque chose au canton de Lomme, qui fut de gauche de longue date ".

En ce qui me concerne, je pense avoir apporté quelque chose au canton de Lomme... qui reste de gauche. En effet, le canton ne prend pas la couleur du conseiller général mais le conseiller général élu épouse son canton, son histoire, sa réalité.

Mais de tout cela, je parlerai la semaine prochaine. En attendant et puisque j'ai parlé d'histoire, j'ai retrouvé cette photo d'Arthur Notebart, maire de Lomme, rendant hommage à mes deux arrières-grands parents, membres de la SFIO et tués au sortir de la traditionnelle fête des écoles en juin. C'était en 1959 à Lomme.

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08/09/2007

Le socialisme et son histoire

fa8ff17616cc1edbc34d6a09b6dba367.jpgLe parti socialiste fait aujourd'hui sa rentrée à Lomme en présence de François Hollande. Celles et ceux qui ne sont pas socialistes peuvent néanmoins s'intéresser de près à ce parti, à son histoire et à son devenir. C'est mon cas et c'est la raison pour laquelle je propose sur mon blog ce reportage sur un siécle de socialisme. Il suffit de cliquer...

http://www.dailymotion.com/video/x10j0w_le-socialisme-de-...

Sur cette photo "réunion de la section lommoise SFIO" datant d'avant 1959, on retrouve au centre Gilbert Forestier (secrétaire de section SFIO), à côté de lui Arthur Notebart, maire de Lomme de 1947 à 1990, derrière Robert Butstraen, décédé il y a quelques jours et mon arrière-grand père Alphonse Vinckier.

29/04/2007

40% d'indécis... cela laisse une marge non ?

Selon un sondage TNS-Sofres pour RTL et Le Monde, les électeurs français sont encore très indécis à une semaine du second tour de l'élection, notamment chez les partisans de François Bayrou dont près de 40% n'ont pas pris de décision. Parmi les électeurs de Bayrou (18,57% des voix au premier tour), 61% ont arrêté leur choix et ceux-là penchent plutôt pour la candidate PS (31%) que pour l'UMP (23%), tandis que 7% s'abstiennent.

28/04/2007

Un débat utile à la France, pour sortir de la caporalisation

medium_bayrouetroyal.jpgAu sortir de ces deux heures de « dialogue », beaucoup retomberont dans l’exercice perpétuel, à savoir mettre en avant ce qui a pu paraître diviser les deux protagonistes et non ce qui a pu les rassembler. Avant le débat, les partisans de Sarkozy avaient trouvé une ligne de conduite à tenir face à ce qui devait bien être une « première » dans l’histoire de la 5ème République. C’est ainsi que l’on a entendu Mme Pécresse dire que Mme Royal jouait la présidentielle à pile ou face. Et d’ajouter : « Nous aurions préféré avoir un soutien franc et massif en faveur de Sarkozy ».

 

Mais le débat est passé par là au motif que 16 millions d’électeurs avaient un véritable droit à l’information. Il faut le rappeler et si ce droit n’existait pas, nous voyons bien à quoi nous aurions droit : la caporalisation. Pour ne pas subir l’alignement, il faut regarder les réalités en face. Le dialogue engagé a été de qualité parce que établi dans la clarté. Et ce qui apparaît tout aussi clairement, c’est ce que les uns et les autres avaient peut-être oublié depuis dimanche soir dernier : les problèmes de la France sont toujours là. Et c’est de ces problèmes là et des solutions à apporter que Ségolène Royal et François Bayrou ont pu parler.

 

Je retiens d’abord cette envie de construire le pluralisme, elle est commune et Ségolène Royal tourne le dos aux vieux démons socialistes. « Rien n’est plus nécessaire que de faire bouger les lignes. Il faudra bien des unions plus larges » a lâché François Bayrou. Pour moderniser, il faut « absolument tourner le dos au verrouillage médiatique ». Cela doit passer par la loi précise François Bayrou. Je retiens ensuite sur l’Europe une convergence sur les objectifs. Ce qui est peut-être différent, c’est le temps et la manière de présenter les choses. Mais les deux débatteurs ont l’Europe au cœur. Je retiens enfin une plus grande convergence sur les questions économiques et sociales que l’on veut bien le dire. Jusqu’à présent, nous étions dans les propositions à l’état brut. Sans dialogue, nous pouvions en rester aux préjugés. Ségolène Royal assure « qu’elle n’est pas une femme de dogme ». Je ne prends pas la phrase pour argent comptant. J’attends. J’écoute. J’entends : « Le pacte, nous pouvons l’orienter, l’adapter ». J’entends que ce sont les partenaires sociaux qui seront en première ligne sur la mise en place d’une sécurité sociale professionnelle. J’entends que certaines dépenses publiques peuvent rapporter plus qu’elles ne coûtent. Je veux bien que cela ne parle pas à certains, mais à moi conseiller général, ce discours me parle. On ne fait pas toutes les dépenses avec un objectif de pure rentabilité à court terme. Sur les 35 heures, le débat s’instaure et François  Bayrou lui-même est venu conclure la séquence : « Personne ne détruira cet équilibre. Ce n’est d’ailleurs pas ce que propose Nicolas Sarkozy ». Le débat le plus animé a finalement été celui sur les retraites. Mais je n’ai pas senti là encore que les positions étaient inconciliables.

 

Prenant François Bayrou en flagrant délit de « surenchère sociale » sur la question des « petites retraites », Ségolène Royal a même conclu hâtivement : « Nous dépenserons ensemble, là où c’est nécessaire ». Les convergences étaient réelles sur les questions de vie quotidienne. François Bayrou et Ségolène Royal partagent cette évidence : «Il n’y a aucune chance d’avoir un pays en sécurité si on ne l’apaise pas ».

 

Voilà, pour une fois, il fallait montrer que l’on peut débattre sans faire allégeance. C’est d’ailleurs le grand intérêt de ce débat d’avoir pu faire la démonstration que c’est en dialoguant que l’on progresse. Oui, ce débat aura été d’une très grande utilité. A suivre donc… Je doute que celui de mercredi prochain soit de la même nature. Il ne vise pas le même objectif et pourtant… comme l’a dit François Bayrou : « Si la confrontation continue, c’est la France qui perd… ». Nous, nous voulons faire gagner la France. Car nous sommes tous mis en demeure de devoir faire bouger les choses. Je confirme, je vote Royal.

13:55 Publié dans 2007 | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : udf, bayrou, royal, politique, ps