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09/04/2008

Une vision à débattre de la démocratie participative à Lomme (29.000 habitants)

Objet : démocratie participative 

Monsieur le Maire,

Dans l’attente de nos prochains échanges, je tiens à travers les quelques lignes qui suivent à vous faire partager idées et convictions concrètes sur le sujet de la démocratie participative. A propos de la notion elle-même, tous les observateurs reconnaissent à l’instar de Loïc Blondiaux que c’est « une notion qui souffre d’une inflation rhétorique. On en parle de plus en plus alors que les résultats sur le terrain se font attendre ».

Sur le fond, le problème de la critique démocratique, indispensable pour que la démocratie reste une vraie démocratie, c’est de la faire entrer dans des espaces publics institutionnalisés, de l’organiser et de la rendre productive. Il est, de ce point de vue, extrêmement intéressant de compiler l’ensemble des idées lancées par les listes qui participent aujourd’hui à la majorité communale sur le sujet. Les appliquer toutes n’aurait pas forcément de sens mais trouver à partir de l’ensemble, des lignes directrices, en aurait davantage de mon point de vue. C’est ce que j’ai commencé à faire dans la mesure où cela me paraissait être la première pierre à poser dans le cadre de la délégation que vous m’avez confiée.

S’agissant des comités de quartier, ma conviction de base est qu’ils ne doivent pas devenir davantage de simples comités d’animation au niveau des quartiers. Le fait qu’une grosse centaine d’habitants assistent à ces comités en prenant sur leur temps, en l’absence de rétributions matérielles, est en soi satisfaisant.

Disons que pour nous, ces instances doivent viser à dynamiser une participation citoyenne aux affaires communes et également à lutter contre le fléau de l’individualisme. La tendance actuelle de confier aux comités des missions d’animation (jurys pour les balcons fleuris, organisation du parcours du cœur, ramassage des bouchons de bouteille, etc…) ou le fait qu’ils se limitent bien souvent à traiter les problèmes de rue (poubelles, vitesse, stationnements, etc…) sont finalement assez éloignés des objectifs que vous vous étiez vous-même fixés au lancement des dits comités en 2001.

Il me semble que les comités doivent nécessairement redevenir des lieux de concertation et d’échanges sur les problématiques du quartier. Des comptes-rendus publics et une amélioration de la communication en générale sont à mon sens des exigences premières. S’agissant de leur composition, je n’ai jamais pensé que la désignation du tiers des membres par les groupes politiques était une bonne chose. Cette désignation politique est d’abord inutile mais je pense même qu’elle brouille l’essence même du comité. Pour l’avenir, il ne me paraîtrait pas incongru que nous puissions expérimenter des comités avec un seul collège, celui des habitants.

Le second collège existant aujourd’hui, celui des personnalités et des présidents d’associations, pourrait trouver logiquement sa place dans le nouveau Conseil Communal de Concertation à l’échelle de la commune, conseil dont vous avez évoqué la création dans votre projet communal. Les commissions extra-municipales existantes comme la « commission histoire » trouveraient tout naturellement une place dans le futur CCC qui pourra fonctionner avec des commissions thématiques. Dans le même ordre d’idées, je crois que c’est dans ce cadre que pourront être débattues des orientations propres à la jeunesse comme aux personnes plus âgées. Ce qui, dans mon esprit, n’implique pas la création de conseils séparés dédiés à la jeunesse ou aux personnes âgées mais exige une représentation de toutes les générations au sein du CCC. Ainsi composé, ce nouveau conseil de concertation à l’échelle communale peut en effet offrir un cadre propice aux questions générationnelles tout en préservant le lien entre les différents acteurs de la commune. Je crois que sur ce point nous devrions être tout à fait en phase.

Nous aurions ainsi une architecture de participation des citoyens à deux niveaux, avec d’une part le Conseil Communal de Concertation à l’échelle communale et d’autre part une structure à l’échelle des 5 quartiers où siègeraient des habitants désignés. Désignés démocratiquement à l’issue d’une campagne que la commune se chargerait d’organiser ?  Désignés simplement après passage devant un jury ? Tirés au sort ? Le débat est ouvert tant les idées foisonnent. La forme traditionnelle de désignation démocratique me paraît préférable au « tirage au sort » qui certes a ses vertus et son histoire mais ce mode de désignation pose le problème de la motivation de la personne choisie. On ne peut raisonnablement obliger une personne à s’engager dans une structure de concertation au niveau local, si elle ne le souhaite pas pleinement. Ce mode de désignation est une belle idée mais le volontarisme reste de mon point de vue la clé de l’engagement. Si nous choisissions des comités avec un collège unique d’habitants, il reste la possibilité de tirer au sort une partie des membres, et ce dans le cadre d’une expérimentation.

Il nous appartiendrait ainsi de mettre en place ces structures (en même temps ?), d’affiner les missions de chacune et de préciser notamment les enjeux de coopération avec les élus du conseil communal. Dans mon esprit, parce qu’il s’inscrit à une échelle communale, le Conseil Communal de Concertation, est à même de se réunir et de rendre des avis sur des aspects de la politique communale. Le comité de quartier est lui recentré sur ses missions de proximité. Il ne me paraît pas anodin de penser à rendre publiques l’ensemble des séances et d’organiser les séances dans des lieux publics du quartier, sans que ce soit forcément le même. L’idée étant vraiment d’inscrire ces 5 comités dans une grande proximité, accentuée par le collège unique, les séances ouvertes et la tenue des réunions dans des lieux différents.

****

Toutes ces dispositions ne seraient pas complètes si nous ne nous donnions pas les moyens d’aller plus loin dans la participation des habitants au quotidien.

Vous avez proposé la mise en place d’Ateliers Urbains de Proximité et je crois que cette disposition s’inscrit dans le cadre plus global des crédits et des actions de la politique de la ville avec son Contrat Urbain de Cohésion Sociale. Elle est bien entendu à retenir mais de mon côté, je suggère que pour évaluer l’ensemble des actions mises en œuvre, nous puissions envisager d’ici quelques mois de mettre en place un observatoire de la démocratie locale, piloté par des habitants expérimentés ou non, qui rendraient un rapport annuel sur le fonctionnement d’un certain nombre de dispositifs.

Dans le même registre, je pense que nous devons faire une plus grande place dans le journal communal à l’information concernant les enquêtes publiques et autres concertations, qu’elles soient métropolitaines, départementales ou d’état mais impactant directement notre territoire. Sur les grands projets d’aménagement, il me semble nécessaire d’instituer le principe de convocation d’assemblées participatives exceptionnelles.

Dernier point important qui me paraît participer de l’ambition que nous voulons porter ensemble pour développer l’engagement citoyen de nos habitants : les comités d’usagers. La liste des Verts avait notamment suggéré des conseils de crèche ouverts aux parents. Je pense qu’il est possible et raisonnable de mettre sur pied rapidement plusieurs comités d’usagers dans des domaines divers : petite-enfance mais aussi utilisation des transports en commun, utilisation des équipements publics (médiathèque, salles de sport, etc…). Nous pourrions commencer par cela.

Dans le champ social, il me paraîtrait très utile de mettre en place un comité des usagers du CCAS. J’ai noté avec intérêt que vous suggériez la mise en place de la commission relative à l’accessibilité des personnes handicapées. Je pense que nous pouvons en faire un véritable comité d’usagers avec la même reconnaissance institutionnelle.

Je termine mon exercice en exprimant clairement la conviction que si nous nous donnons les moyens de répondre à cette ambition de participation citoyenne, nous aurons tenté de réhabiliter une culture d’implication dans notre commune qui dépasse les engagements traditionnels. Cette culture à proposer me paraît plus construite que la simple proposition d’enregistrer une pétition citoyenne, proposition que je ne peux pas rejeter d’emblée mais qui ne me paraît pas être, dans la mesure où l’exigence est forte, à la même hauteur que les ambitions que nous soumettons aujourd’hui au débat.

Je n’ai pas besoin de rappeler que j’ai été un partisan farouche de la consultation citoyenne que j’ai historiquement provoquée une fois à Lomme, un jour de juin 1999. Cette initiative était inscrite dans un certain contexte. A l’époque, elle était une réponse à une absence de concertation et de participation des habitants à un choix d’avenir majeur pour notre commune.

Notre rôle d’élu, et c’est comme cela que je le conçois, est bien d’élever le débat sur les enjeux communaux, à l’échelle de la commune toute entière en partant des différents quartiers et des aspirations des habitants. C’est dans ce cadre et avec cette exigence de cohérence des outils à mettre en œuvre que j’entends la mission qui m’est confiée et c’est dans ce strict cadre que j’entends aujourd’hui m’impliquer totalement, tant je pense qu’il y a urgence à tout faire pour retrouver la confiance de nos concitoyens. La faible participation électorale aux dernières élections est un signal d’alerte que nous devons entendre.

Heureux d’avoir pu partager avec vous ces réflexions, veuillez agréer, Monsieur le Maire, mes cordiales salutations.

Denis VINCKIER

Conseiller délégué à la démocratie participative

Commentaires

Bonjour Monsieur Vinckier,

Un petit commentaire sur la situation libanaise?

Rumicourt

Écrit par : rumicourt | 11/05/2008

Bonjour Rumicourt,
Je vois où vous voulez en venir.
En ce qui me concerne, je reste optimiste car la grande majorité des libanais ne veut pas la guerre.

Écrit par : DV | 11/05/2008

Bonjour Denis,

Te serait-il possible de me faire parvenir le texte qui organise les Comités de Quartier à Lomme ?

J'aimerai le comparer avec la "Charte" qui ici à Marcq organise les notres.

J'ai voulu t'adresser un mail, mais apparamment ta boite ne focntionne pas (j'ai eu un retour de non délivrance).

Merci de ton aide

Bien à toi

Écrit par : Eric DUTRIEUX | 12/05/2008

Bonjour Monsieur Vinckier,

Quelques jours après le début des événements, nous voilà avec un peu de recul pour débattre de la situation. Je vais essayer de faire simple et concis.

Tout d’abord, j’espère sincèrement que tous les membres de votre famille et vos amis ne se trouvaient pas trop près des lieux de combats. J’espère également qu’ils ne seront pas proche des prochaines exactions qui s’annoncent.

Le Hezbollah, bafouant la démocratie, a retourné les armes dites de la résistance contre d’autres libanais, comme la majorité des libanais l’avaient prévu. Le PSNS couvre Beyrouth Ouest de ses drapeaux et de portrait du dictateur syrien, les symboles de la liberté d’expression (télé, journeaux) sont brûlés, au minimum une centaine de morts… Aoun voit dans cette agression armée une « victoire » (l’Orient Le jour) !
Les druzes sont plus coriaces à maté que les gamins du courant du futur, ils ont plus d’expérience, mais ils sont en infériorité d’un point de vue armement et d’un point de vue numérique. L’armée compte les points car les officiers maronites tremblent devant les deuxième classe chiites…

Les sunnites n’ont bien entendu pas dit leurs derniers mots et Hariri et l’Arabie saoudite vont s’empresser d’armer des djihadistes qui viendront probablement d’Irak. Prions simplement pour que les chrétiens restent à l’écart des combats et que les FL n’est pas l’envie de botter les fesses de ce qui restera du CPL.

Toute cette situation est en grande partie le résultat de la politique de votre idole. Il a choisi de s’associer au Hezbollah dans l’optique de se faire élire plutôt que de raisonner les chiites modérés.

Il sera sans doute dans les prochains mois élu président, mais à la botte du Hezbollah et de Assad. Aoun se rêvait en général de Gaulle, l’histoire le jugera au mieux comme un Pétain.

Quand pensez-vous ?

Cordialement

Rumicourt

Ps : si vous n’avez pas envie de débattre sur votre blog, vous avez mon courriel.

Écrit par : rumicourt | 14/05/2008

Le député (PS) de la Haute-Garonne est aussi vice-président du Groupe d'amitié France-Liban. Il explique pourquoi Paris et Bruxelles doivent renouer le dialogue avec toutes les communautés libanaises.

Ainsi la crainte qui était celle de nombreux observateurs et amis du Liban depuis deux ans s'est-elle concrétisée : le blocage politique et institutionnel a débouché sur une confrontation armée opposant avant tout chiites et sunnites, répercutant le bras de fer en cours entre l'Administration américaine et ses alliés israéliens et arabes, d'une part, et l'Iran et ses alliés, d'autre part. Mais cette confrontation a tourné en quelques heures à l'avantage du Hezbollah et de ses alliés, malgré les rodomontades émanant précédemment de certains leaders du camp gouvernemental. Le général Aoun avait pourtant prévenu que le Hezbollah se défendrait s'il était mis au pied du mur.

Mais il ne s'agit pas pas encore ? d'un coup d'État : les deux décisions du Conseil des ministres considérées comme «déclarations de guerre» par Hassan Nasrallah ont été rapportées par l'armée libanaise. Les positions sensibles permanences et moyens d'information ont été remises à l'armée. Le point de non-retour de la guerre civile n'est pas encore atteint. Les déclarations de Saad Hariri et de Hassan Nasrallah laissent toujours une issue possible dont l'armée libanaise et son chef, Michel Sleimane, peuvent être les garants, après avoir une nouvelle fois confirmé leur sang-froid et leur unité dans un contexte périlleux.

Mais il est évident que la stabilisation durable ne peut être fondée que sur un compromis politique, dont les enjeux ont été définis par la Ligue arabe, et qui concernent l'élection présidentielle, la composition du gouvernement et la loi électorale.

Il faut tout faire pour que ce compromis permette un retour au consensus intercommunautaire sans lequel il n'y a pas de stabilité au pays du Cèdre.

Sans partage de la décision, il n'y a qu'un Liban partagé…

Sans gouvernement d'union nationale, le Liban n'est que la caisse de résonance de tous les conflits régionaux.

Il faut sortir de l'unilatéralisme. L'échec des initiatives françaises et européennes visant à tirer le Liban de la crise peut être expliqué par deux erreurs : la première est de s'en être tenu à un soutien exclusif au gouvernement de Fouad Siniora et au camp dit du 14 mars clairement allié aux États-Unis et à l'Arabie saoudite. Ce soutien a été jusqu'à exclure toute rencontre avec le général Michel Aoun, désigné comme porte-parole de l'opposition ; la seconde erreur a été de ramener en grande pompe le rôle de la Syrie comme déterminant pour la réalité politique intérieure. Ce retour, consacré par ailleurs lors de la conférence d'Annapolis organisée par les États-Unis, pourrait lui permettre de remettre en cause les acquis de la résistance des Libanais tout au long de la période d'occupation, mais aussi ceux de la «révolution du Cèdre» de 2005 qui a précipité la sortie de l'armée syrienne.

Pour contribuer au retour de l'équilibre au Liban, la France et l'Union européenne doivent retrouver le fil d'un dialogue avec toutes les communautés, en réaffirmant le principe inscrit à Taëf, du partage de la décision.

Il est temps de se démarquer de la logique de force et d'exclusion de l'Administration américaine néoconservatrice et finissante. N'est-ce pas Alistair Crooke, ancien conseiller de Javier Solana, qui a récemment déclaré que la politique américaine au Moyen-Orient risquait de déclencher un conflit sans précédent ?

Écrit par : DV | 15/05/2008

André Aoun est le président toulousain du RPL (Rassemblement pour le Liban). Ce mouvement politique est la vitrine Française du Courant Patriotique Libre (CPL) du général Michel Aoun.

Alors que les armes ont recommencé à parler à Beyrouth, Tripoli et dans la montagne du Chouf, André Aoun analyse une situation complexe que ne suffisent à expliquer, à ses yeux, ni l'intervention en sous main de la Syrie, ni la volonté du Hezbollah de s'emparer du pouvoir par la force.

Pourquoi le Hezbollah a-t-il brutalement sorti les armes?

Ce qui se passe actuellement était prévisible. Car depuis la fin de la guerre de l'été 2006, lorsqu'Israël a tenté d'éliminer le Hezbollah par les armes, les institutions ne fonctionnent plus et le pays n'a plus de président depuis novembre 2007. L'assassinat en Syrie du responsable Hezbollaoui Imad Moughnieh, la rumeur d'une tentative d'assassinat à Beyrouth sur la personne d'Hassan Nasrallah lui-même avaient déjà préparé le terrain. La tentative de limogeage du responsable de la sécurité de l'aéroport de Beyrouth, et la dénonciation officielle du réseau de télécommunicationprivé du Hezbollah ont mis le feu aux poudres et provoqué l e coup de force que nous venons de vivre. Le Hezbollah a sorti les armes parce qu'il s'est senti menacé. Mais ce n'est pas un coup d'Etat à proprement parler. Le Sérail n'a pas été attaqué et les positions occupées par le parti de Dieu ont été rendues à l'armée libanaise.

Ce ne serait donc pas les prémices d'une nouvelle guerre civile?

Honnêtement je ne pense pas qu'il y ait un risque réel de guerre civile car il n'existe pas de force capables de s'affronter face à face. Il y a des provocations c'est évident et il est clair que le Hezbollah ne rendra les armes tant qu'il y aura, notamment, des prisonniers en Israël. Mais seul le dialogue pourra nous permettre de sortir de cette crise.

On évoque systématiquement l'action en sous main de la Syrie pour expliquer le désordre Libanais?

C'est sûr que les Syriens doivent se réjouir de ce qui se passe, mais ils ne sont pas les seuls à intervenir au Liban. Américains et Israéliens sont également complices de cette situation. Une vingtaine d'assassinats politiques ont été commis en trois ans et aucun n'a encore été élucidé. Quant à l'assassinat de Rafic Hariri, si des gens sont réellement mis en cause, qu'on ait le courage de le dire. Mais pour l'instant on s'apprête à organiser un procès sans véritable accusé. Soyons clairs, tant que la Syrie faisait la politique de l'Amérique on l'a laissé tranquille pendant quinze ans au Liban. Il a suffi qu'émergent des divergences notamment au sujet de l'Irak pour que les Américains les laissent se faire écarter du Liban.

Vous pensez que le retour au dialogue reste possible ?

Nous pensons surtout qu'il est incontournable. La Ligue Arabe est d'ailleurs sur cette ligne. Il faut d'abord former un gouvernement d'Union nationale, promulguer une nouvelle loi électorale, et ensuite discuter de tout, y compris des armes du Hezbollah qui n'a pas vocation à rester armé indéfiniment.

Écrit par : DV | 15/05/2008

cher denis

en ce qui concerne ton projet de democratie participative je trouve qu'il y a de la recherche surtout sur la désignation des animateurs des différents comité de quartier en revanche ta décision de procédé a l'appel d'un jury pour désigner celui-ci je ne trouve pas cela juste bien que certaine personne de ton entourage actuel au sein de la majorité communale son bien placé pour convaincre des personnes de les suivre comme certaine personne on su faire pour composé leur listes pour les election communales je t'invite à leur demander la recette par contre il on su evinçé d'autre personne plus en action.


au niveau de la situation du liban je ne comprens pas ce que cela fait sur ton blog celui ci ne devrait etre conssacré qu'a tes action sur notre commune bien que je sais que ce pays te touche beaucoup par rapport a ton entourage.

moi je n'ai pas ouvert de blog a ce jour pour te dire qu'actuellement je suis au kosovo chez le neuveu du 1 er ministre achil taçhi

amicalement rudy

Écrit par : rudy | 19/07/2008

cher denis je constate que depuis ta délégation que tu as eu par DURAND tu n' a plus le temps de repondre sur ton blog au différent message que l'on te mets cela est bien dommage

amicalement

Écrit par : rudy | 08/10/2008

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