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25/02/2008

Je mettrai en place un CCC (Conseil Cantonal de Concertation)

Fort de l'expérience acquise au cours de ces 7 dernières années, des contacts noués avec les populations de nos 10 communes et l'ensemble des élus, mais aussi les associations et toutes les forces vives, je propose comme ambition forte pour les années qui viennent, de :

  • mettre en place un conseil cantonal de concertation de 60 membres, comprenant 20 élus (2 par commune) / 20 associations (2 par commune) / 20 habitants (2 par commune) pour débattre de toutes les questions d’intérêt cantonal comme l’accueil de la petite-enfance mais aussi l'accueil et l’hébergement des personnes âgées et handicapées ou encore les déplacements.
  • valider avec la population (par le biais de consultations communalesle schéma des déplacements sur lequel nous travaillons depuis plusieurs mois avec mes collègues conseillers généraux d’Armentières et de la Bassée. Pour lutter contre les nuisances et sécuriser les déplacements, avec les maires et les associations concernées, nous mettrons parallélement en place un schéma cantonal des pistes cyclables et un schéma cantonal de hiérarchisation des poids lourds.

22/02/2008

Première réaction à ma proposition de débat public entre les candidats aux cantonales

Roger Vicot (PS) est le premier à réagir à ma proposition de débat public entre les candidats aux cantonales. "Quant au débat, je suis pour… mais entre les deux tours, si j’ai le plaisir d’y être. Laissons les habitants du canton se prononcer dans un premier temps sur la variété des propositions, dont certaines d’ailleurs ne sont pas éloignées, si j’en crois ce que dit le candidat communiste Jean-Pierre Staelens. En revanche, un débat sera sûrement très intéressant lorsqu’il s’agira de choisir entre deux alternatives, deux politiques différentes, deux visions du développement du canton dans le département. Pour ma part, je propose d’ores et déjà qu’il soit organisé le cas échéant par la presse écrite ou audio-visuelle, ce qui lui donnera une audience plus large".

21/02/2008

Quand mon concurrent ne dit pas tout

En proposant comme cela un nouveau pont (!) pour doubler l'actuel pont de Délivrance, Roger Vicot ne dit pas que les études ont d'ores et déjà été lancées par le département. Mais surtout, ce qu'il ne dit pas, c'est que nous devons envisager aujourd'hui cette question beaucoup plus largement, en cohérence avec la fameuse LINO (Liaison douce Intercommunale Nord-Ouest qui passera en bas à droite sur la photo). c9c2f4a1a0d603962379e22c99adddde.jpgA toutes fins utiles, je lui adresse via mon blog copie de ma lettre au Vice-Président chargé des infrastructures. Lettre qui porte mes interrogations et fait le point sur quelques éléments d'histoire. Cette épisode de la campagne renforce ma détermination à vouloir un débat public pour que les choses soient dites dans la clarté, la transparence et avec un esprit de responsabilité.

Lomme le 20 Février 2008

Monsieur Rémi PAUVROS

Vice-président du Conseil Général du Nord

Chargé des Infrastructures

Hôtel du Département

59047 LILLE Cedex

Monsieur le Vice-Président,

J’ai l’honneur de revenir vers vous au sujet de l’opération de sécurité G199, que nous avons inscrite au Plan Routier Départemental en études complémentaires, et qui vise à mettre en évidence l’ensemble des aspects techniques d’un éventuel élargissement des 3 ouvrages qui constituent le Pont dit de Délivrance à Lomme.

Ce pont a une histoire presque centenaire puisqu’il a été conçu comme une compensation au moment où l’Etat a imposé à la commune de Lomme, par décision ministérielle du 25 Août 1919, l’implantation d’une vaste raquette SNCF, gare de triage ayant comme vocation la coordination du triage des wagons et la formation des trains de l’ensemble de l’agglomération lilloise.

Tout allait très vite à l’époque, trop vite sans doute puisque l’urgence des travaux provoquait l’expropriation rapide des terrains sur Lomme et Sequedin. Tout se réglait entre la Compagnie des Chemins de Fer et les propriétaires. Le maire de Lomme apprit la chose par les journaux. Il constatait que l’orientation Nord-Sud des voies supprimait les communications directes entre le Bourg et le Marais. Les pouvoirs publics ne voulurent rien entendre. Ils consentirent finalement à créer ce pont en compensation.

Aussi, je ne remets pas en cause notre volonté départementale d’étudier un élargissement de l’ouvrage. Nous devons répondre à la problématique des liaisons douces. Je crois par ailleurs que nous devrons, comme nous nous y sommes engagés, renforcer la chaussée du pont avant la fin du Plan soit avant 2010. Mais des éléments nouveaux m’amènent à m’interroger sur la finalité d’un élargissement.

·         D’abord, la relance effective de la LINO (Liaison Intercommunale Nord-Ouest) conçue comme une liaison douce de contournement des quartiers lommois de Mont à Camp et du Marais et de liaison nouvelle entre les deux parties de la commune. La véritable passerelle inter-quartiers pour l’avenir est certainement plus dans la LINO que dans l’élargissement du Pont qui pourrait dans sa forme actuelle être réservé aux piétons et cyclistes, dès l’inauguration de la LINO.

·         Ensuite, je rappelle que nous avons d’ores et déjà intégré cette perspective de la LINO dans nos choix et notamment dans ceux que nous avons fait avec les deux giratoires de part et d’autre du Pont avec un débouché opérationnel sur la future LINO justement.

Je tenais à vous faire part de mes réflexions au moment où nous devons prendre les bonnes décisions et au moment où je le crois, nous devons rapprocher aujourd’hui toutes nos réflexions de ceux qui porteront la maîtrise d’ouvrage de la future LINO, cette liaison qui permettra de réconcilier Lomme avec ses quartiers et son histoire.

Avec mes plus cordiales salutations.

Denis VINCKIER

 Conseiller Général du Nord

 

18/02/2008

Comme conseiller général, je veux lancer le débat sur le regroupement des collèges lommois.

3c80f5d69e91e10624a9a0d25ae9b55c.jpgJe m’explique. Je suis depuis 7 années, comme conseiller général et donc représentant de la collectivité de rattachement, administrateur des 3 collèges de Lomme dont le département est propriétaire.

Historiquement, deux collèges étaient d’anciens collèges "Pailleron". Ils n’étaient pas seulement dans un triste état mais simplement dangereux. Ils ont été reconstruits dans le cadre d’un véritable plan de sauvetage des collèges départementaux. Sur Lomme, ce fut d'abord le tour du collège Jean Jaurès (quartier Mont à Camp) sous le mandat précédent pour un montant de 56 millions de francs de l’époque. Puis dans le mandat en cours, ce fut celui du collège Jean Zay (quartier Bourg/Mitterie) pour un montant de 17 millions d’euros.

Le département est donc propriétaire de ces 3 collèges et il alloue chaque année, outre des aides à la demi-pension et des bourses aux collégiens, des subventions de fonctionnement aux établissements. Un conseil d’administration gère en toute autonomie les crédits alloués. J’ai établi quelques rapides calculs.

D’abord sur les dépenses annuelles d’énergie des 3 collèges.

  • Collège Jean Zay (HQE) : 75.000 euros soit 1/3 de la dotation annuelle globale de fonctionnement du département.
  • Collège Jean Jaurès (HQE) : 44.000 euros soit 1/6 de la dotation annuelle globale
  • Collège Guy Mollet : 54.000 euros soit 1/3 de la dotation annuelle globale

Ensuite sur le nombre d’élèves qui fréquent les 3 collèges et la capacité réelle d’accueil.

  • Collège Jean Zay : 230 élèves accueillis pour 480 élèves pouvant l’être. Soit taux d’occupation de 48%.
  • Collège Guy Mollet : 340 élèves accueillis pour 500 pouvant l’être. Soit un taux d’occupation de 68%.
  • Collège Jean Jaurès : 440 élèves accueillis pour 750 pouvant l’être. Soit un taux d’occupation de 59%.

Globalement, un peu plus de 1.000 élèves sont accueillis dans les collèges lommois pour une capacité d’accueil de 1.700 élèves soit un taux d’occupation de 59%.

Ma conclusion :

Nous avons deux collèges neufs qui ont coûté 25 millions d’euros à la collectivité publique. Les deux dépensent annuellement 120.000 euros en énergie (eau, gaz, électricité) alors que l’un est occupé à 48% et l’autre à 59%.

Dans ces conditions, il ne me paraît pas incongru de poser les éléments du débat du regroupement des collèges à l’échelle communal. Lomme peut garder ses deux collèges les plus récemment construits. Les investissements réalisés dans le moins récent des collèges, Guy Mollet, pouvant être considérés comme des investissements utiles. D’abord parce que si nous devions envisager une telle hypothèse, elle ne serait pas mise en œuvre dès demain. Et puis, nous pourrions garder à ce lieu éducatif un caractère socio-culturel par exemple en transformant le collège Guy Mollet en une grande maison des associations à l’échelle lommoise.

Les deux collèges récemment reconstruits ont des capacités réelles qu’il s’agit aujourd’hui d’essayer d’optimiser. Là est bien le sens de ma proposition. On va dire que le débat est lancé et il était normal que ce soit le conseiller général sortant qui le lance.

16/02/2008

3 Lommois sur la liste lilloise de Jacques Richir (Modem)

38ea69641e415c09c53213b0cbf0ac02.jpgCe matin, Jacques Richir a dévoilé la liste de 61 personnes qu'il conduira à l'échelle de Lille-Lomme-Hellemmes. Nous serons 3 Lommois en bonne position sur cette liste. Il faut y voir là le signe de l'attachement de Jacques Richir au devenir des communes associées en général et de la nôtre en particulier.