11/04/2006
Seul à voter contre
Non il ne s’agit pas ici de disserter sur les dernières positions anti-A 24. Je n’ai pas, en ce qui me concerne, de veste réversible mais je suis obligé de constater que le député s’est lui fait faire un costume sur mesure. Comment expliquer autrement que celui qui a fait signer il y a plusieurs mois, aux maires de la Lys et des Weppes, une lettre à Gilles de Robien réclamant une " A 24 métropolitaine que les élus du secteur attendent avec engagement et sérénité " dénonce aujourd’hui un projet inutile et irréalisable ? Les mauvaises langues disent que pour participer aux futures concertations sur le tracé après 2007, il vaut mieux être réélu député... et donc être contre aujourd'hui après avoir été pour hier et bien sûr pour le redevenir demain. C'est logique non ? Nous y reviendrons mais mon humeur du matin concerne la journée d’hier et la séance que nous avons eue au département. L’ordre du jour prévoyait l’examen d’une délibération concernant les modalités de financement des " clic ", entendez ces structures territoriales au service des personnes âgées. Au cours de la séance de ce 10 avril, nous attendions beaucoup des explications de Bernard Derosier, Président du Conseil Général sur un dossier qu’il avait tenu à piloter personnellement. L’enjeu : dans un contexte où le département est amené à piloter seul l’action en faveur des personnes âgées, trouver les clés de financement d’un maillage cohérent du territoire, objectif que nous partageons tous. Nous attendions beaucoup de cette séance tant l’implication des élus UDF sur ce dossier est forte : implication dans la concertation gérontologique depuis 4 ans, participation aux journées territoriales, interpellations en séance, questions d’actualité, etc… Nous avions même voté au budget 2006 une somme de 200.000 euros visant à permettre à partir d’études de bâtir la future politique départementale en direction des personnes âgées.
L’étude confiée au cabinet Sanesco, pour la première fois, Bernard Derosier nous en a donné la teneur hier : " C’est bien un document dont je dispose pour me faire un avis mais dont il ne m’appartient pas de faire la communication dans la mesure où ce qu’il contient ne correspond pas aux options que je partage ". 1ère grande déception. Puis elles se sont enchaînées.
La seconde est venue de la confirmation de ce que le département financerait tous les projets validés en CROSMS. Or, dans sa dernière séance (6/7 avril 2006), il semble que cette structure ait avalisé en toute indépendance (!) un dossier mal ficelé ou trop bien ficelé, tout dépend de l’endroit où l’on se situe. Bref, tout le monde s’accorde pour dire que le dossier CLIC – CCAS de Lomme – Croix Rouge Française passé en CROSMS ce jour-là est mort-né. Ce n’est pas moi qui le dit mais un maire signataire malgré lui. Mais il ouvre, au regard de la délibération présentée, droit aux financements départementaux. Comment le CROSMS a-t-il pu valider un dossier de CLIC avec des communes non volontaires mais signataires, ou parfois adhérentes même à un autre CLIC déjà existant ?
3ème déception enfin : la délibération prévoit qu’un conseiller général référent, " catalyseur des actions de terrain " a précisé Bernard Derosier, assisté d’un adjoint des services, sera chargé de faire le chirurgien là où des problèmes de maillage du territoire se posent. C’est la cas chez nous, il va falloir trancher et je le dis clairement, cela va faire mal. La délibération prévoyait donc un conseiller général référent. Comment sera-t-il désigné par le président du conseil général. Sur des critères territoriaux, politiques ? Bernard Derosier a tranché : pour être référent, il faut voter la délibération du jour et le budget de l’année. J’ai voté contre la délibération du jour mais pour le budget 2006 des personnes âgées. Dans sa grande bonté, Bernard Derosier pourrait encore me désigner conseiller général référent mais il contreviendrait à la règle qu’il s’est lui-même fixée. Il fera donc certainement confiance à mon collègue socialiste Daniel Rondelaere. Mon dernier message sera donc pour Daniel Rondelaere: " Mon implication a été réelle sur ce dossier et je dois dire que je suis extrêmement déçu par la séance du 10 avril. J’ai d’ailleurs bien senti que le président Derosier n’avait pas l’assurance des grands jours. Je te souhaite bon courage. Mon avis tu le connais puisque je t’avais communiqué copie de ma dernière et ultime lettre à Bernard Derosier. Je compte néanmoins sur toi si tu es désigné pour cette rude mission pour laisser la politique au vestiaire et défendre comme je l’ai fait l’intérêt général. Car dans cette affaire, et ne l’oublions jamais, c’est la qualité du service rendu à la personne âgée qui doit être mis en avant et par dessus tout ".
Lire également dans les archives : http://denisvinckier.hautetfort.com/archive/2005/09/24/qu...
et les interventions d'Olivier Henno sur http://www.olivierhenno.net/article255.html et http://udf-cg59.hautetfort.com
06:55 Publié dans Politiques sociales | Lien permanent | Commentaires (0)
09/04/2006
Echangeur RN 41 vers les Weppes en venant de Lille: des travaux dès la fin de l'hiver prochain.
Quand l'urgence commande... Nous devions avoir un échéancier précis sur la suite des opérations. L'aménagement de cet échangeur à hauteur d'Hallennes lez Haubourdin était devenu pour moi la priorité des priorités du canton. La lettre que je viens de recevoir du Vice-Président chargé des routes au département prend la mesure du caractère d'urgence que revêt désormais cet aménagement.
Lille le 5 Avril 2006
"Monsieur le Conseiller Général,
Vous avez interrogé les services départementaux pour connaître l'état d'avancement du projet de réaménagement de la bretelle de l'échangeur RN 41- RD 207.
Comme je l'avais proposé lors de notre commission d'arrondissement du 20 octobre dernier, ce projet a été intégré en opération prioritaire au Plan Routier Départemental 2005-2010 par délibération du 30-31 janvier et 1er février, sous le code LLG216.
Le département a obtenu, dès février 2006, l'accord de l'Etat pour cette intervention. Le dossier d'avant-projet est maintenant bouclé et sera proposé à l'approbation de la Commission Permanente à la fin de ce semestre.
La réalisation du dossier de consultation des entreprises puis la conduite de la procédure de marché public permettent d'envisager des travaux dès la fin de l'hiver 2006-2007.
Je vous prie de croire, Monsieur le Conseiller Général, à l'assurance de mes sentiments les meilleurs".
Rémi Pauvros, Vice-Président du Conseil Général
10:10 Publié dans Infrastructures | Lien permanent | Commentaires (0)
27/03/2006
La force d’une chaîne se mesure à la résistance du maillon le plus faible
Adoption du Plan Départemental d’Action pour le Logement des Personnes défavorisées 2006-2010
Monsieur le Président,
Monsieur le Vice-Président,
Le groupe UDF est heureux que nous ayons ce débat aujourd’hui. La question du logement en général et celui des plus démunis en particulier doit sortir de la sphère des spécialistes. Je réaffirme que la question du logement ce n’est pas un problème social mais bien un problème sociétal.
Nous ne faisons pas partie de ceux qui pensent que le logement dit social est une charge. Et à ceux qui le pensent encore, nous leur redisons qu’elle est à partager. Créer du logement social, ce n’est pas répondre à une exigence de la loi mais répondre à des besoins. Le Plan que nous adoptons aujourd’hui s’inscrit dans la même logique. Les besoins sont énormes (69.000 demandes en souffrance, 30.000 logements indignes, 64.000 logements vacants).
Je ne reviens pas sur le diagnostic sauf pour rappeler que les prix du marché ont été multipliés par deux en six ans, que les exclusions ont, comme vous l’avez exprimé, Monsieur le Vice-Président, des formes diverses (Il y aurait en France plus d’un million de personnes hébergées en famille). « Il y a dix fois plus de sans abri qu’il y a 20 ans. L’âge moyen est de 33 ans dans nos centres », expliquait récemment dans la presse un membre de l’ABEJ, « hier c’était entre 40 et 60 ans ». C’est pour les accueillir que nous investissons dans des centres d’hébergement d’urgence mais convenons-en, ce n’est pas la solution.
Nous avons aujourd’hui beaucoup d’outils de compréhension et le plan va nous en donner de nouveaux. On sait en effet aujourd’hui parler des situations du mal-logement, de la pénurie de logement.
Mais nous avons besoin de logements accessibles. Comment vont-ils surgir ? Il y a aujourd’hui un consensus politique, je le crois, pour dire que la régulation de la crise du logement ne viendra pas par le marché. Il a sa place mais le fer de lance de la réponse c’est le mouvement HLM et le mouvement du logement social. La proportion des ménages à bas revenus est passée de 12% il y a 10 ans à plus de 20% aujourd’hui. Or, la programmation des PLAI stagne, les constructions de logements PLS augmentant pour leur part alors même que la demande de PLAI s’accroît compte tenu de la baisse des revenus d’une fraction importante de notre population.
Ces données, vous les avez intégrées Monsieur le Vice-Président, et je dois dire au nom de mon groupe que ce plan est à la hauteur des attentes.
Les commissions locales du plan auront, vous ne l’avez pas évoqué, un rôle important à jouer. Rôle d’observation (permettant de solliciter les EPCI sur des questions essentielles) et un rôle d’animation et de partenariat (suivi des politiques locales de l’habitat, ingénierie).
Nous saluons les efforts faits pour mobiliser le parc locatif privé ( notamment par le biais des Agences Immobilières à Vocation Sociale), pour répondre aux objectifs du plan de cohésion sociale avec des exigences par rapport à l’Etat que vous avez rappelées (11230 logements PLUS/PLAI sur la période 2006-2009), pour prévenir les expulsions, pour lutter contre l’habitat indigne. L’évaluation, nous en reparlerons dans la cadre des réunions de suivi et enfin sur le FSL, le président a apporté toutes les garanties pour qu’il soit dans son action de prévention le plus réactif possible.
Alors, Chers Collègues, nous sommes à la croisée des chemins. Nous devons réussir à passer d’un système où l’Etat régulait, payait, organisait à un système où les villes, les agglos, le département et la région seront amenés à prendre des responsabilités nouvelles… avec des déperditions que nous regrettons avec vous.
« La force d’une chaîne se mesure à la résistance du maillon le plus faible ». Nous voterons, Monsieur le Vice-Président, les dispositions nouvelles que vous nous proposez pour ce Plan Départemental parce que pour nous, UDF, renforcer et aider le maillon le plus faible du tissu social pour justement l’aider à reconstruire un parcours résidentiel, c’est finalement défendre et renforcer la société toute entière.
Je vous remercie.
Denis Vinckier
19:40 Publié dans Politiques sociales | Lien permanent | Commentaires (0)
17/03/2006
Ce soir, nous ne devenons pas socialistes...
Monsieur le Maire délégué, Chers Collègues,
En lisant les comptes rendus qu’égrènent les journaux en ce temps d’examen des budgets des communes, on lit souvent qu’ici et là, l’exercice financier donne lieu à d’amères discussions, les uns votant souvent contre les autres avec des prétextes plus ou moins bien fabriquées.
En ce qui nous concerne, depuis 2001, date de notre élection, notre groupe se positionne en attente. C’est une abstention que nous avions pris l’habitude d’exprimer. Avec des préoccupations réaffirmées à chaque fois lors du débat d’orientations budgétaires et lors des débats budgétaires : préoccupations sociales, préoccupations démocratiques, j’y reviendrai.
Cette année, nous avons collectivement décidé de voter pour le budget que vous nous proposez en dépenses. C’est le résultat d’une cohérence politique de notre part. Je vais m’en expliquer.
Je précise que nous maintiendrons notre abstention (c’est l’objet d’une délibération à part) sur les taux dans la mesure où nous continuons de penser qu’il est de saine gestion de pouvoir voter un budget en dépenses et en recettes et que c’est justement la fusion avec Lille qui nous en empêche.
Je ne veux pas polémiquer au nom de mon groupe avec vous sur l’explosion fiscale car c’est un terme que nous n’avons, en ce qui nous concerne, jamais employé. Le chiffre que nous donnions dès 1999, quelques mois après votre annonce de fusionner Lomme et Lille, c’était une augmentation objective de 27% du taux lommois pour rattraper le taux lillois (je me limite au taux de Taxe d’Habitation). Nous y serons, certainement même au delà parce que à côté de la mécanique il y a une dynamique des taux lillois. Nous y serons donc, certes sur une période plus longue, de 12 ans au lieu de 5.
Vous avez inscrit notre commune associée dans une hausse des taux mécanique à dose homéopathique. La droite et l’extrême droite Lilloises continuent de vous dire que le réveil sera douloureux. Nous ne nous plaçons pas sur le même registre sémantique mais nous pensons fondamentalement que cet alignement va poser à terme un vrai problème à de nombreux concitoyens lommois.
En effet, le propre d’une commune c’est de pouvoir être librement administrée par des élus qui savent objectivement jusqu’où ils peuvent placer le curseur de la fiscalité locale. Avec la fusion, nous restons privés de cette capacité.
Mais j’en viens au budget propre en saluant la présentation de Didier Delmotte que j’ai un jour, je pense à juste titre, qualifier d’adjoint aux dépenses.
Et bien ce soir, Monsieur Delmotte, c’est votre budget de dépenses que nous voterons.
J’ai évoqué la cohérence et j’y ajoute le sens des responsabilités qui caractérise notre équipe. Malgré vos dénigrements (Ils existent), malgré vos caricatures, nous avons maintenu constamment, dans nos interventions, dans nos choix et dans nos votes, une véritable éthique de l’action politique. Cette éthique nous la revendiquons dans un paysage politique où bien souvent la tolérance est un vain mot car trop souvent l’outrance l’emporte.
Ethique de l’action politique
En 2005, nous avons voté pour un certain nombre de politiques cadres : La politique enfance, le PPUL (Programme Projet Urbain), le Projet Educatif Global, le PLH communautaire, les crédits pour la médiathèque.
Nous avons aussi émis des réserves, et je me dois de les rappeler: sur l’ANRU (Je n’enlève pas un seul mot à ce que j’ai dit sur le sujet), sur Euratechnologies, sur le contrat local de sécurité, sur le fonctionnement des comités de quartier, sur la maison du citoyen.
Ceci étant dit, sur le budget en dépenses que vous nous présentez, c’est à dire sur la masse des dépenses que vous nous proposez d’engager, quand nous regardons honnêtement ce que nous avons voté comme cadrages en 2005, il s’avère honnête de considérer que nous ne pouvons pas rejeter ce budget de dépenses.
Un seul point aurait pu nous amener à nous figer dans l’abstention : la maison du citoyen. Je rappelle que cette maison pour laquelle des dépenses en crédits de paiement sont prévus en 2006, a fait l’objet de deux délibérations en 2005.
- La première nous demandait de nous positionner sur le principe. Nous avons voté pour cette maison avec un marché s’établissant à hauteur de 155.000 euros
- Une seconde délibération est arrivée avec un montant de 665.000 euros et nous avons exprimé nos interrogations. Il était légitime que nous nous posions la question d’un autre choix.
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Néanmoins, sur cette maison, qui va mobiliser des fonds divers, il faut maintenant avancer et c’est donc une position pragmatique que nous adoptons.
Globalement, nous sommes donc face à un budget en dépenses dans lequel nous nous retrouvons. Je signale au passage que les sommes en jeu n’ont pas grand chose à voir avec les sommes qui sont mobilisées sur notre territoire communal par notre partenaire privilégié de l’intercommunalité, LMCU.
Je signale également au passage également que nous avons renoncé à déposer des amendements constructifs vu le sort que vous aviez réservé à celui que nous avions présenté l’an dernier pour améliorer la démocratie participative. Vous étiez tombés il y a un an jour pour jour dans la caricature grossière en expliquant qu’avec notre amendement, à partir de juillet, les services n’auraient plus eu la possibilité de téléphoner faute de budget.
Bref, l’essentiel est aujourd’hui ailleurs.
Il est dans la capacité que nous aurons à améliorer nos taux de réalisation sur nos budgets communaux. Je rappelle que nos taux de réalisations n’étaient pas bons lors de l’examen du Compte Administratif 2004 : 60% en investissement et seulement 83% en fonctionnement.
Seront-ils meilleurs lorsque nous examinerons dans quelques semaines la Compte Administratif 2005. Nous verrons bien.
Et puis il est dans le regard que nous aurons sur les aménagements dont nous sommes les bénéficiaires mais sur lesquels nous devons rester vigilants. Notre ville bouge mais nous devons redoubler de vigilance.
Je vais prendre deux exemples de natures différentes mais ils se rejoignent ;
Vous avez été destinataire, Monsieur le Maire délégué, d’une pétition des habitants de l’avenue Notebart qui expliquent en substance que les travaux sont terminés mais que les responsables de ces travaux s’aperçoivent aujourd’hui qu’ils ont oublié l’implantation des arbres. Et les habitants de la rue de vous demander : " Pouvez-vous organiser une réunion afin de recueillir l’avis sur la nécessité des arbres ou sur leurs implantations ".
Nous n’en rajouterons pas mais très franchement, il y a là des dysfonctionnements qu’il convient de regarder à la loupe. On nous martèle que les comités de quartier sont associés. Associés à quoi ? Nous voulons qu’ils soient associés aux choix, au suivi des projets sur la commune.
Le second exemple que je vais prendre concerne justement un projet sur lequel deux comités de quartier sont associés (Mont à Camp et Marais). Nous avons eu il y a quelques jours le premier comité de pilotage du projet " Rives de la Haute Deûle ". Nous avons critiqué le projet Euratechnologies sur des aspects précis et nous continuerons de mettre en cause une forme d’angélisme béat.
Quand nous lisons dans un grand quotidien régional les propos du nouveau directeur du Digiport, il explique " que c’est un projet qui se présente bien, la preuve avec ces quelques demandes déjà arrivées, alors qu’il n’y a quasiment pas eu de prospection ". Les bras m’en tombent et en matière d’anthologie, avec Euratechnologies, on pourra bientôt faire un superbe collier avec toutes les perles collectées.
Guy Oriol a posé ce soir là, je le crois et je le dis franchement, des questions importantes et nous aurions tort de ne pas nous pencher dessus.
***
Je vais conclure : nous votons ce soir le budget, nous nous abstenons sur les taux, mais nous ne renions rien de ce que nous sommes. Nous ne devenons pas ce soir socialistes. Vous êtes d’ailleurs assez nombreux. Avec notre culture démocrate et sociale, nous venons vous dire des choses, nous venons vous dire ce sur quoi nous voulons que vous changiez de méthode en profondeur.
Je vous remercie de votre attention.
Denis Vinckier – 16 Mars 2006 - Conseil communal
08:30 Publié dans Lomme | Lien permanent | Commentaires (1)
14/03/2006
Notre sénatrice en ligne
A l'UDF-Nord, tous les élus sont maintenant sur la toile (Le dernier de la classe, Francis Vercamer -député- y travaille). Tous présents donc avec des formes diverses certes, mais nos concitoyens doivent y voir là une sacrée preuve de transparence et de démocratie de la part des élus centristes. La dernière venue est notre sénatrice Valérie Létard qui vient de mettre en ligne un vrai site de travail. Je vous invite à aller découvrir son mot d'accueil sur :
21:15 Publié dans UDF | Lien permanent | Commentaires (1)